Celle-là, je ne l’avais pas vu venir
Elle se promenait là, librement
Claquant ses bretelles de jeunesse
Me narguant presque de sa joie de vivre
Elle voyageait comme un parfum d’été
À m’en rendre verte de jalousie
Faisant virevolter sa robe
Sans qu’aucun souci ne s’y glisse
Je l’attraperai bien au lasso
Son petit rire m’agace à la fin
Je la ligoterai bien, ici,
Pour lui faire avouer son secret
Mais force est d’admettre qu’elle est plus vive
Plus forte, plus futée que la colère
Malgré tous mes efforts pour m’en soustraire
Elle est toujours là, fraîche et dispos
Même les grands courants d’air, ne la déloge
C’est une pensée rôdeuse, presque hors-la-loi
Qui titille les bourgeons de mes rêves
Les empêchant de s’endormir devant l’néant
Elle se promenait là, librement
Claquant ses bretelles de jeunesse
Me narguant presque de sa joie de vivre
Elle voyageait comme un parfum d’été
À m’en rendre verte de jalousie
Faisant virevolter sa robe
Sans qu’aucun souci ne s’y glisse
Je l’attraperai bien au lasso
Son petit rire m’agace à la fin
Je la ligoterai bien, ici,
Pour lui faire avouer son secret
Mais force est d’admettre qu’elle est plus vive
Plus forte, plus futée que la colère
Malgré tous mes efforts pour m’en soustraire
Elle est toujours là, fraîche et dispos
Même les grands courants d’air, ne la déloge
C’est une pensée rôdeuse, presque hors-la-loi
Qui titille les bourgeons de mes rêves
Les empêchant de s’endormir devant l’néant